Sans Titre

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La nature est un gaspillage.

La pensée l’est aussi.

Mais il y a, entre elles deux, des îlots de solitude

où parfois se concentrel’oublié,

où l’homme de nouveau peut évoquer l’harmonie.

Bien qu’à l’évidence le gaspillage continue.

Roberto Juarroz, Nouvelle POESIE VERTICALE, Traduit de l’espagnol par Roger Munier — Merci à Juanjo SanSebastian pour cette découverte

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